L'origine étymologique du flanc se trouve dans la vieille hlanca allemande ancienne, qui se traduit par "hanche" . Ce mot est passé aux Français comme un flanc qui, dans notre langue, est devenu un flanc.

Comme avec le corps humain, le flanc d'un corps de soldats peut également être particulièrement vulnérable si l'ennemi l'utilise avec ruse. Il existe un grand nombre d'histoires de batailles passées dans lesquelles c'est grâce à l'attaque de l'armée adverse par l'un de ses côtés que les héros ont remporté la victoire.

L’une des raisons pour lesquelles le flanc est plus vulnérable que le front dépasse les questions organiques, en particulier dans le cas d’une armée de centaines de soldats: c’est le manque d’ attention que l’on accorde à la raison qui la laisse plus sans protection, et cela se produit parce que notre vision se concentre principalement sur ce qui se passe devant nous.

Les côtés d'un bastion ou d'un bastion, formant un angle avec l'avant et un autre avec le rideau, sont également appelés flancs.

Il y a aussi le verbe flanquear, qui fait partie de la famille de ce mot et peut être défini comme suit: "être situé à côté de quelque chose"; "Protéger ses flancs"; "Menacer les flancs de l' ennemi, par exemple, s'approcher de lui sur l'un de ses flancs dans l'intention de l'attaquer."