De la pénurie latine, la pénurie est la pénurie ou le manque de choses essentielles. Par conséquent, ceux qui souffrent sont confrontés au manque de quelque chose d’indispensable pour mener une vie digne . Par exemple: "Il semble que les épreuves en Afrique ne finissent jamais", "Quand je serai président, je ferai tout mon possible pour mettre fin aux souffrances des enfants", "J'en ai marre des épreuves et des misères, je ne sais pas quoi faire." "

Des notions telles que privation, insuffisance, pauvreté et indigence peuvent donc être associées à la notion de privation. Si un journal appelle "Essence dans la ville", il fait référence au fait que, à un endroit donné, il n’ya pas assez de carburant pour répondre aux besoins.

Les difficultés, cependant, ne sont pas toujours associées au matériau . L'expression "Juan souffre depuis plusieurs mois" peut être liée au fait que cet homme n'a pas les moyens nécessaires pour satisfaire ses besoins essentiels (comme de la nourriture ou un logement) ou que cette personne vit un moment émotionnel compliqué (en raison de la mort de un être cher, une distanciation, etc.). Bien entendu, les deux problèmes peuvent également apparaître combinés (peut-être que "Juan" n'a ni argent ni affection).

L'idée de pénurie a ses antonymes en termes de richesse ou d' abondance . Si les lignes ci-dessus, nous parlions de "pénurie de carburant" pour illustrer la manière d'indiquer le manque de matériel, l'inverse serait de dire qu'il existe une "abondance de carburant" dans une ville (le niveau des réserves de carburant peut couvrir les besoins locaux ainsi que commercialiser le surplus).

L'économiste János Kornai, originaire de Hongrie, a inventé le terme économie de difficultés au début des années 80 pour exprimer son opinion critique sur les anciennes économies à planification centrale utilisées en Europe centrale et orientale, dans les pays communistes. Dans un article de son auteur qui porte le nom de ce concept, un travail très pertinent dans le domaine de l’économie, a fait valoir que les pénuries subies sur le continent européen au cours des années 70 et 80, de manière quasi chronique, ils ne sont pas dus à une mauvaise planification ou à des prix mal définis, mais à des défaillances du système lui-même.

Il convient de noter que lorsqu'un produit est rare, cela ne veut pas dire que personne ne le produit, mais lorsqu'il atteint un certain prix, sa demande devient supérieure à son offre et ce même phénomène a été critiqué par Kornai dans son article, le prenant comme cause de les difficultés susmentionnées (par exemple, cela peut se produire si le gouvernement impose un prix trop bas).

Penuria est également le nom d'un groupe qui a vu le jour à Santiago du Chili au milieu de 2007, grâce au travail intense de Leonardo Signorelli, un musicien qui joue de divers instruments et qui a été responsable de la composition de plusieurs de ses chansons. Grâce au travail incessant de publication de Leonardo sur le célèbre réseau social Myspace, l’acceptation par d’autres musiciens n’a pas attendu et a rapidement obtenu la notoriété à laquelle il s’attendait.

Le genre du groupe s'appelle Funeral Doom Metal ; le terme funéraire a fondamentalement la même signification qu'en espagnol, tandis que malheur peut être traduit par mort, malédiction, fatalité, destin du destin, ruine ou destruction, parmi d'autres possibilités qui renvoient toujours à une phrase ou à un destin terrible.

Les funérailles du doom metal sont un sous-genre du doom metal, qui appartient à son tour au genre heavy metal . Le métal doom est très lent et lourd et se distingue sans difficulté de trash et de death metal . En fin de compte, les funérailles tragiques prennent des moments extrêmement lents et denses, tentant de créer une atmosphère de désespoir et de désolation en utilisant fréquemment les distorsions et les grognements. Cela explique le choix du nom "penuria" pour le groupe de musique susmentionné, qui cherche à créer des moments particulièrement sombres à travers ses paroles et ses mélodies.